Tenebra Roma – Donato Carrisi

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Broché: 304 pages
Editeur : Calmann-Lévy 


Résumé

Rome va plonger dans les ténèbres
pendant 24 heures, toutes les lumières
de la ville vont s’éteindre.

Dès le crépuscule, un tueur de l’ombre se met
à frapper, aucun habitant n’est à l’abri,
même enfermé à double tour. Crime après crime,
le mal rejaillit sous sa forme la plus féroce.

Marcus, pénitencier qui a le don de déceler
les forces maléfiques, échappe de peu
à ce bourreau mystérieux. Mais qui a pu
lui  vouloir une mort si douloureuse ?

Epaulé par Sandra, photographe de scènes
de crime pour la police, il doit trouver
la source du mal avant qu’il ne soit trop tard…

Mon Avis

Si vous aimez les grands récits qu’on ne parvient pas à lâcher, le mystère et l’histoire, alors ce livre est pour vous !

Pendant toute sa lecture, j’avais plus l’impression de lire l’une des enquêtes de Robert Langdon dans un des livres de Dan Brown. Un mélange de mystère, symboles, histoire et du suspens pour nous scotcher le livre aux mains.

Cependant, j’ai beaucoup aimé cette petite supposition : Et si Robe tombait dans la pénombre ? Et s’il y avait plus d’électricité, ni internet, ni un moyen de communication pendant une seule journée ? Y’aurait-il des conséquences ? Sans doute oui ! Mais vous êtes loin d’imaginer l’ampleur des dégâts…

Le livre s’ouvre avec un petit retour dans le passé, sans doute pour donner plus de poids au récit, à l’époque du pape Léon X, en 1521. Neuf jours avant de mourir, le pape Léon X émit une bulle contenant une obligation solennelle : Rome de devait « jamais jamais jamais » se retrouver dans le noir. Ce refus, répété trois fois, aiguise un sens mystérieux de sacrilège qui règne en permanence dans les pages du roman. Carrisi a su capter l’attention du lecteur bien avant le début de l’histoire.

Dans un premier temps, le livre semble assez, on est bombardé avec des informations et des caractères apparemment déconnectés les uns aux autres que presque il est difficile de rester concentrer sur le roman puis, comme par magie, lentement chaque morceau est mis en place et l’histoire commence à prendre une forme. Tous les personnages et leurs histoires commencent à s’entrelacer à la perfection en suivant quelque chose d’indescriptible et exceptionnel. En commençant par Marcus le pénitencier qui se réveille menotté dans un endroit froid avec aucun souvenir de sa dernière nuit. Son seul indice, un bout de papier dans lequel était écrit un message, celui de chercher un petit garçon disparu il y a neuf ans. Comment était-il arrivé là ? Qu’est-ce qui a causé son amnésie ? Je ne vous en dis pas plus sinon je vais finir par vous spoiler toute l’histoire. C’est le truc avec les bons polars, dés qu’on commence à raconter, on a envie de tout dire. Je ne sais pas pour vous mais personnellement j’aime, même en lisant un polar, qu’il y est une petite touche d’amour entre deux personnages. Et dans ce polar c’est Marcus et Sandra. Cette dernière va se retrouver mêler à toute cette histoire alors qu’elle enquêtait sur un meurtre étrange d’un jeune pénitencier. Et ensemble ils vont essayer de sauver ce qui reste de Rome.

Avant ce livre, je n’avais jamais lu un Donato Carrisi, et je le regrette. Il a ce don de ne laisser paraître aucune lueur de vérité jusqu’à la fin du roman.

Ma Note

3-copie

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